5 détails remarquables sur le Belge et sa banque

Les Belges sont connus pour leur comportement d’épargne, mais leur relation avec leur banque va bien plus loin que ça. Lors des mois d’avril et mai 2018, Roularta Research a publié un questionnaire en ligne sur « La banque de demain », qui a été remplie par 2.260 personnes (lecteurs du Vif/L’Express, Knack, Trends-Tendances, Trends, Plus Magazine (F+N), Sport/Foot Magazine et Sport/Voetbalmagazine). D’un côté, cette enquête fournit une étude en profondeur sur le comportement bancaire du Belge et de l’autre côté une étude d’image indépendante des différentes banques reprises dans le questionnaire. Dans ce blog, nous partageons 5 résultats remarquables sur le Belge et sa banque.
  1. Les fonds de placements ont la cote

Le Belge est fidèle à son épargne, c’est bien connu. Hormis les comptes à vue (97%), les comptes d’épargne classiques (93%) sont les produits financiers les plus populaires. Cependant, pour la plupart, cet épargne doit également être rentable. Pas moins de 52% des sondés investit dans des fonds de placements et nous n’avons encore rien dit sur les investissements dans des actions, des obligations ou même des cryptomonnaies.

  1. Une banque n’est pas pour la vie

L’enquête démontre qu’en général, les sondés n’ont pas peur de changer de banque et de faire face au cauchemar administratif. Pour à peine 1 sur 3 trois sondés qui étaient sur le point de changer de banque, c’était une bonne raison pour tout compte fait abandonner cette idée. Par contre, vu sur l’ensemble des sondés, un tiers a effectivement changé de banque lors des 5 dernières années.

Qu’est-ce qui aurait pu les convaincre ? Des conditions plus avantageuses et un coût plus faible sont d’importants motivateurs. La répartition des épargnes et l’insatisfaction des services rendus par leur banque précédente sont également deux raisons fréquemment citées.

  1. La banque hors ligne : ça existe encore 

En ces temps d’affaires bancaires en ligne et sur mobile, il n’est pas surprenant d’apprendre que les visites à une agence bancaire pour régler ses affaires quotidiennes (p.ex. effectuer des payements, transférer de l’argent d’un compte à l’autre) sont devenues très rares. N’empêche qu’un quart des sondés entre son agence bancaire au moins une fois par mois. Au jour d’aujourd’hui, c’est principalement pour régler le côté administratif de son dossier ou pour des renseignements concernant des placements.

  1. L’expertise, c’est le mot-clé

Pour le consommateur, les banques d’aujourd’hui occupent davantage le rôle de conseiller et ça se fait remarquer dans l’importance qu’ils attachent à l’expertise de leur banque. Au moins 1 sondé sur 2 considère l’expertise comme une « qualité très importante » d’une banque. D’autres qualités, également considérées importantes, sont le traitement confidentiel des données personnelles, la transparence sur les coûts chargés, le contact personnel ou encore les services bancaires mobiles (une qualité capitale pour 34% des sondés).

  1. La banque mobile a encore une marge de croissance

79% des sondés possèdent un smartphone, la moitié d’entre eux a installé l’appli de leur banque. 2 usagers sur 3 s’y connectent plusieurs fois par semaine et 1 usager sur 3 l’utilise plusieurs fois par semaine pour effectuer des paiements.

Reste la question pourquoi l’autre moitié des sondés n’utilise pas l’appli. 2 sondés sur 3 ont indiqué que, par habitude, ils préfèrent simplement gérer leurs affaires bancaires comme ils les géraient avant l’arrivée des applis. Les doutes sur la sécurité (40%) et sur l’intimité de la vie privée (30%) sont les deux autres principales raisons pour ne pas utiliser l’appli d’une banque.

Souhaitez-vous en savoir plus sur cette enquête ou sur d’autres d’études que Roularta Research a menées ? Nous partageons volontiers des résultats détaillés sur demande, afin que vous puissiez accorder votre plan de marketing ou de communication de façon optimale à votre groupe cible et vos objectifs.